Matinée politique avec la Fédération de Mont Amba |
"En politique, on
n’a jamais tort de dialoguer surtout lorsqu’il s’agit de préserver la paix et
la stabilité de notre pays, d’y asseoir la démocratie et d’engager son avenir vers
des lendemains meilleurs. Or la consolidation de la paix, durement acquise, et
l’enracinement de la démocratie, passent par la tenue d’élections libres, apaisées,
transparentes et crédibles. Par contre, des élections agitées peuvent mener au
chaos, comme nous avons pu le constater ailleurs sur le continent.
La classe politique congolaise
étant divisée sur le processus électoral et d’autres questions majeures, comment
peut-on diluer ces divergences sinon par le dialogue?"
Je vous invite vivement à lire l’article de Angèle Makombo, Présidente nationale de mon parti politique, la Ligue des Démocrates Congolais (LIDEC), dans
Photo de famille après une manifestation |
lequel elle fait part de la position de la LIDEC sur le fameux dialogue national. Elle indique notamment que la LIDEC, contrairement à certains partis politiques de l’opposition, dit oui au dialogue mais un dialogue circonscrit aux questions électorales, inclusif sans être pléthorique, d’une brève durée, d’un coût réduit (pas de per diem), avec une représentation significative de femmes. Elle propose comme facilitateur,
Angèle Makombo face à sa base |
Martin Kobler, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies et No1 de la Mission de l’ONU dans notre pays (MONUSCO). En outre, Angèle Makombo fait une proposition pertinente et motivée visant à réviser l’article 71 non verrouillé de la Constitution pour revenir à une élection présidentielle à deux tours en 2016
.
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http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6711
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