Je dédie ce poème à la femme congolaise dont le dur labeur et la
souffrance, pour subvenir aux besoins de sa famille sont souvent ignorés par la
majorité des congolais.
Vente du pain par les femmes. Photo RFI |
En te répudiant de sa maison, il croyait te briser;
De brimades en humiliations, que de souffrances vécues !
Toujours imperturbable, ton silence était le prix à payer;
Tu avais une vision, un rêve : épargner cette misère à tes
enfants ;
Alors tu as travaillé sans relâche et toujours avec enthousiasme ;